Publireportage : la Société Guinéenne de Palmier à Huile et d’Hévéa (SOGUIPAH) dans la dynamique de refondation promue par le Chef de l’Etat

Après plusieurs années de crises structurelles faisant porter un coup sévère à la survie même de cette entreprise étatique, le Président de la transition, le colonel Mamadi Doumbouya, a jugé utile de confier la Société Guinéenne de Palmier à Huile et d’Hévéa à une équipe qui allie compétence et intégrité. Près de six mois après sa nomination, quels bilans peut-on dresser de la gestion de l’équipe de Fodé Mourana Soumah à la tête de la SOGUIPAH ? Pour répondre à cette curiosité, la rédaction de Confidence224.com a jugé bon de se passer de commentaires flatteurs pour aller sur les faits ; c’est-à-dire, donner la parole aux actes.

Tout d’abord, il faut remarquer que dès son entrée en fonction, la nouvelle direction s’est attelée à faire l’état des lieux afin d’en savoir sur les acquis et les défis qui freinent l’évolution tant escomptée de la Société Guinéenne de Palmier à Huile et d’Hévéa qui, encore une fois, n’a cessé de battre de l’aile ces dernières années. Cette approche plutôt classique a été conduite avec rigueur et a permis de déboucher sur un certain nombre de constats notamment, le retard dans le payement des salaires et autres rémunérations ; le manque de pièces de rechange pour les usines et pour le parc auto ; la crise des planteurs qui avaient cessé de livrer les produits à la SOGUIPAH pour sept mois de factures impayées ; l’absence d’entretien des plantations des années durant ;  la crise des transporteurs bord-champs pour cause de six mois de factures impayées et des dettes fournisseurs trop élevées.

Face à ces nombreux défis, la nouvelle équipe, pleinement engagée dans la politique de refondation chère au Président de la transition, s’est vite retroussée les manches afin de remettre sur orbite la SOGUIPAH, au grand bénéfice non seulement des milliers d’employés directs et indirects, mais surtout de l’économie national in globo. Des reformes ont ainsi été engagées tous azimutes. Du payement des arriérés de dettes à l’entretien régulier des installations industrielles, nombreuses sont des réalisations qui ont été faites en un temps aussi court. Sans être exhaustif on peut citer entre autres actions, la résolution de la crise avec les planteurs, le payement de trois mois d’arriérés (environ 30 milliards de Francs Guinéens) et le payement régulier des factures fraiches depuis juillet 2022 (estimées à ce jour, à environ 50 milliards de Francs Guinéens) ; la résolution de la crise avec les transporteurs et apurement de leurs impayés de l’ordre de 2,5 milliards de francs guinéens ; le payement régulier des salaires et à bonne date ; l’entretien des plantations (en cours) ; l’entretien annuel de l’usine de caoutchouc et acquisition progressive de pièces de rechanges et le règlement partiel des arriérés des divers fournisseurs. Comme pour dire qu’aujourd’hui l’heure est plutôt au changement au vrai sens du mot. Le cap est bon et l’avenir est prometteur, comme on dit.

Par ailleurs il n’est pas moins important de rappeler que depuis son avènement à la tête du pays, le CNRD, sous la houlette du Colonel Mamadi Doumbouya, s’est trouvé pour leitmotiv, la gestion saine des deniers publics avec pour point orgue, le principe sacro-saint de la reddition des comptes. Comme à la prunelle de ses yeux, le Chef de l’Etat tient à ce sacerdoce tant et si bien que cela conditionne sa collaboration avec n’importe quel cadre de son administration.

Parmi les responsables du pays qui ont vite compris et intégré cette philosophie de gouvernance figurent ceux de la Société Guinéenne de Palmier à Huile et d’Hévéa, conduites des mains de maitre par monsieur Fodé Mourana Soumah, avec à ses côtés, madame Madina Bah, la brillantissime Directrice Générale Adjointe Chargée de Finance et de l’Administration et aussi et surtout monsieur Alexis Bamy, Directeur Général Adjoint Chargé de la Logistique et de l’Import-export. La rigueur, la discipline dans la gestion et surtout la transparence, sont les lignes directrices auxquelles ces jeunes âmes ne dérogent sous aucun prétexte. Les ambitions qu’ils affichent aujourd’hui se passent de commentaires. En effet, dans un futur proche, monsieur Soumah et ses collaborateurs entendent hisser au rang des plus grandes sociétés évoluant dans le domaine à l’échelle du continent et du monde par ricochet. Si cette ambition n’est pas une sinécure, il n’est pas non plus de l’ordre de l’impossible. C’est du moins ce qui ressort des six premiers mois de gestion qu’on vient de voir de ces cadres.

Mohamed Lamine Sylla

Pour Confidence224.com

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