Il est des hommes dont l’ADN est conçu et moulé au succès et à la réussite. Installez les au désert ils y feront la verdure qui verra ruisseler l’eau du jardin de la vie. Donnez leur de la roche ils en feront de l’or. Jetez leur des pierres ils les assembleront et vous construiront avec des bâtisses d’amour et de fraternité. Des bâtons dans leurs roues ils tisseront des lueurs qui illuminent pour eux le chemin de l’espérance. Comme pour dire que rien de négatif ne les arrête, pas mêmes les sarcasmes des gens du mal. Est de cette espèce rare et précieuse, notre Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme. Alphonse Charles Wright, vous l’aurez compris, est fait d’un acier pour le moins inaltérable. Sa volonté de bien faire n’a d’égale que son aversion vis-à-vis de la chose injuste.
A dire vrai nul ne doutait de sa capacité à conduire des mains de maitre les destinées d’un si grand département. Son parcours académique, sa connaissance des sérails de la justice guinéenne, sa jeune mais riche carrière et, par-dessus tout, sa détermination à rendre justice en tout temps, en tout lieu et en toutes circonstances, sont autant de qualités qui faisaient de lui le candidat idéel pour occuper la tête du Ministère de la justice sous cette transition. Le Ministre Charles Wright est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Aucune de ses nombreuses prouesses réalisées depuis sa venue en tant que Garde des Sceaux n’a surpris outre mesure. On s’y attendait, pour être honnête. D’ailleurs, convenez en avec moi, seul le contraire pouvait en réalité étonner l’opinion.
A bon vin point d’enseigne
Nous nous devons de prendre un instant pour rendre hommage à un homme dont la sagacité a permis à ce fils digne du pays de nous donner le meilleur de lui en tant que Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme. Nous ne reviendrons pas ici sur son bilan oh combien élogieux, étant donné que la réalité aujourd’hui vécue des guinéens est plus éloquente que notre modeste plume. Elle saute aux yeux, comme on dit. Mieux, nous l’avons suffisamment dépeint dans nos précédentes sorties qu’il vous a été donné de lire avec satisfaction. Aujourd’hui notre justice est parvenue, sous son leadership, à redorer son blason en un rien de temps. Comme l’a martelé un certain Jules César, ‘’il est venu, il a vu, il a vaincu’’ (Veni, vidi, vici).
Mais, rien de tout ça ne saurait être possible sans le soutien d’un homme dont l’amour, la confiance et l’accompagnement n’ont point de limite pour le Ministre Garde des Sceaux. Nous parlons bien sûr du Président de la transition, le Col Mamadi Doumbouya qui, vous le savez, a inscrit la justice au cœur de ses actions. Le choix qu’il a porté à son frère et ami a permis d’avoir ce résultat salué de tous, y compris au-delà de nos frontières.
Du reste, s’il est vrai que pour nombre d’entre nous, notre justice a connu un passé difficile, il est aussi vrai que son présent est aujourd’hui rassurant et son avenir suscite grand espoir. La dynamique enclenchée par la transition dirigée par le Col. Mamadi Doumbouya suit sa trajectoire normale et devrait rassurer même le plus sceptique des hommes. Au bas mot, l’espoir est là.
Par Mohamed Lamine Sylla
Journaliste éditorialiste
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