Mes chers compatriotes,
Puisqu’il est question de se dire la vérité et les choses en face, de se poser des questions et d’émettre des réflexions d’ordres morales et sociétales ; l’autre question qui se pose naturellement à nous est de savoir : si l’on tout se dire, ou si l’on peut-on tout faire simplement ?
Cependant, vue que l’heure est grave pour le cas Guinéen depuis bientôt 15 ans, je pense que tout un chacun dans cette société devrait être dans l’obligation de poser des actes forts pour impulser une dynamique souhaitable, positive et collective.
En effet, en patriote convaincu, je pense que nous devons plus que jamais contraindre nos gouvernants en les mettant dans l’obligation de réussir cette noble mission régalienne qui est de faire de sorte que « les Guinéens se regardent en face ». Oui, une question de méthode s’impose, car, les approches ne seront jamais les mêmes dans le temps et en fonction des régimes. Pour marquer les esprits, il faut tout d’abord, commencer par honorer de simples missions convenablement et dans l’intérêt supérieur de la nation. Quand on est aux affaires, on ne doit pas avoir peur d’être surveillé et épilé, car, on se doit d’agir avec honneur et dignité en toute circonstance de la vie.
Aujourd’hui, en tant que citoyen et libre penseur, l’exemplarité et le patriotisme m’engagent ; et je n’ai qu’une envie aujourd’hui ; celle de parler de paix, d’unité et d’union nationale. COMMENT UNIR DANS UN SYMPOSUIM HAUT EN COULEUR LES GUINEENS ET LES GUINEENNES. Le souhait pour tout un chacun étant de voir une Guinée dans laquelle des actes justes et sans distinction d’appartenance seront posées pour notre développement. Pour ce faire, une prise de conscience aiguillée par une constance dans l’action sociale et sociétale s’impose pour écrire et inverser la tendance Nation-Etat. Aucun pays ne se développera sans compétence humaine, sans patriotisme, une justice sociale et un équilibre des classes pour donner finalement place à l’harmonie, je le disais tantôt, COMMENT UNIR DANS UN SYMPOSIUM HAUT EN COULEUR. Il ne suffit pas des mots, mes des actes concrets, authentiques et visibles.
Sachant, que les guinéens n’ont jamais appris à se regarder en face véritablement, et se dire les choses vraiment, en ACCEPTANT DE FACILITER CELA ; c’est comme punir avec sincérité quand cela est juste et nécessaire et récompenser dans l’autre sens les plus méritants. A chacun de jouer sa partition avec constance, car, aucune bonne foi n’est possible sur fond de malhonnêteté déguisée (le gagne-pain des ennemis de la Guinée en mission pour la luxure et la souillure). On rend compte tôt ou tard « en évitant que l’appas des biens mal acquis nous emportent le moins que possible ».
Mes chers Amis/ Amies et Compatriotes ! Si la Guinée d’aujourd’hui, ce pays malgré toute sa richesse est dans un classement peu honorable et pouvant mieux, mais, qui se retrouve en lambeau par endroit, ce qu’elle est bien souvent trahie par ses fils. Ces derniers, au lieu d’être une opportunité d’impulsion pour ce pays qui leur a tout donné, finissent bien souvent par être des corrompus et de surcroit tous vivants au-dessus de leurs moyens et globalement lamentables. Dommage !
Mesdames, Messieurs, puisqu’on parle d’unité, d’union et de paix ; il va s’en dire que l’on se doit de s’armer de notre meilleure tenue défaite de regrets pour arpenter ce long périple qui mène au développement tant espéré de tous. Enfin, remettre la Guinée sur la voie de son développement à travers de projets clairs, nets, quantifiables et qualifiables dans le temps. Plus facile à dire qu’à faire, on sait tous, que l’unité passe par la vérité, aussi, par la justice et surtout, par la paix. La paix elle-même passe par l’acception de l’autre afin de conjuguer les efforts, la même culture, d’où naîtra la notion de Nation.
Sinon, que deviendrait une NATION sans mémoire collective, une NATION en manque de repère total, en manque de modèle, de reconnaissance et de recule nécessaire face aux événements. L’ECHEC permanente est fatalisé est si vite oublié et voilà un perpétuel recommencement sans leçon à entrer. Nous en sommes là et ce, depuis longtemps.
Le peuple de Guinée a besoin plus que jamais d’aller de l’avant et d’avoir une vision claire de ses lacunes et les défis à relever. Mais, aussi, de SAVOIR DEMANDER pardon quand cela est nécessaire en apprenant à s’accepter. D’avoir l’intelligence de s’intégrer pleinement dans ce qui nous unis que le contraire dans ce qui nous divise. La NATION GUINEENNE doit se construire non pas par improvisation mais, par une véritable implication. Que les personnes de bonnes foi soient rapprochées et que l’on facilite pour tout régime de bonne convenance la chance de réussir et de faire réussir là les autres ont échoué. Cela est nécessaire et obligatoire. Une Nation se construit une pierre après l’autre et solidement et non le contraire.
Enfin, combien le savent vraiment, « QU’UN GRAND OFFICIER D’ETAT, GRAND FORMATEUR RECONNU DE L’ARMEE GUINEENNE », Respecté et aimé dans la sous-région pour y avoir fait ses preuves et lui-même issu de grandes écoles militaires Françaises en la personne du COLONEL MAMADOU ALPHA BARRY, anciennement porte-parole du HAUT COMMANDEMENT DE LA GENDARMERIE NATIONALE. Un Grand Intellectuel sur qui on peut compter. Il suffit de faire une audite autour de lui pour s’en apercevoir. Un Monsieur pour ses Hommes qui est devenu un très grand Officier dans le temps pour avoir tellement donné à son pays. Peut-on accepter de se passer d’un si Grand Militaire dans l’armée Guinéenne qui a justement besoin de se restructurer ?
Seuls les intellectuels et les connaisseurs de bonne foi et mœurs développerons la Guinée et non les Démago-rêveurs incompétents il suffit de les mettre à l’épreuve. Nous devons réagir pendant qu’il est temps. Il n’est jamais tard pour bien-faire
Nous devons et nous pouvons pardonner afin que cela permette de part et d’autre de reconnaitre ses erreurs et d’avancer ensemble. C’est maintenant que cela est nécessaire et obligatoire. Personnes ne sait jusqu’où les anciens dignitaires ont menés la Guinée, encore moins, la vision de son orientation pour l’avenir.
Mais ensemble, une vision jeune, une vision patriotique, éprise de justice, d’équité et sagement accompagnée pourra rabattre les cartes de la Guinée. A juste titre, Comme le dirait un sage de la place : PARDONNER POUR ALLER DE L’AVANT, c’est écrire une nouvelle page de notre histoire commune en impliquant tous ses fils. Un tel acte ne serait-il pas finalement un appel à l’unité et à l’union ? Cette unité tant manquée et l’unisson tant voulue, mais très difficilement à atteindre.
Pour terminer, Mesdames, Messieurs, Mes Compatriotes et mes Amis/es, LE DEVOIR DE VERITE, renvoi tout un chacun à sa morale interrogative et permanente de son fort intérieur. Cela veut aussi dire, donner du sens aux actions pour marquer son utilité sociale et sociétale.
Au finish, cette question qui me taraude l’esprit était de savoir : si L’élu(e) ou l’autorité Guinéenne aurait-t-elle besoin de donner un sens honorable à ses missions ? L’unité nationale l’impose, le cri du peuple l’exige et la Guinée a plus que jamais besoin de cette dynamique impulsive, sincère et une justice patriotique équitable pour son développement. Je le crois et je sais qu’ensemble on se battra. Il n’est jamais tard pour….
Très Respectueusement, que le tout puissant Allah bénisse les guinéens.
Par T.S. Nicolas Mara, Patriote Guinéen de la Diaspora, libre Penseur et la voix des sans voix nicolasmara@gmail.com