Pour rappel, dans l’un de ses articles publié le 20 mars dernier sur le site d’information, www.inquisiteur.net, le confrère Babila Keita accusait l’ancien Garde des Sceaux de corruption et de détournement de deniers publics autour de la rénovation et l’extension de la Maison Centrale de Conakry. Mais, selon les commissaires de la Haute Autorité de la Communication, durant toute son audition : « le journaliste Mamoudou Babila Keita n’a apporté aucune preuve des accusations de corruption ». D’où la sanction prise par la HAC contre lui et ce, à compter de ce mercredi 17 avril 2024. Et, poursuit la HAC, : « pendant cette période, le journaliste Mamoudou Babila KEITA, ne peut exercer le métier sur aucun support médiatique ».
La rédaction de www.confidence224.com vous présente ci-dessous une copie de la décision de la Haute Autorité de la Communication dans cette affaire.
La rédaction
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